Mademoiselle Getta-Branleuse DHommes
Plaisirs de la Roumanie dans les années 90 - - Dans lequel Getta l orpheline aide le plaisir des messieurs de l'immeuble
Cette histoire est vraie chers amis. La fille dont je vous parle plus bas a existé, dans l'immeuble d'un ami et moi aussi j'ai bénéficié de ses caresses éhontées.
Son nom était Getta. Elle avait 19 ans, mais elle avait un air étrange: grande, avec un corps de garçon. Avec des jambes minces et des côtes visibles. Un aspect famélique. Et sur ce thorax maigrichon, le Créateur avait mis deux seins gros comme des pastèques de taille moyenne. Getta n'était pas belle, elle avait strabisme et boutons... mais elle avait ces seins irréels et des longs cheveux noirs, longs, ondulés ... toujours serrés dans une queue. Et ces jambes longues... longues.
Bien qu'il ait grandi, tout le monde dans le quartier l'appelait «la gamine». Sa mère était décédée quand elle avait 7 ans et elle vivait avec une grand-mère plutôt folle.
Pour l'aider, l'association des locataires l'avait engagée comme femme de nettoyage. Pour faire un centime, parce qu'elle était très pauvre. Sa grand-mère avait une pension de retraite de 900 lei. De plus, certaines familles l'utilisaient pour nettoyage. Elle était très travailleuse Getta. Même si elle était généralement triste, voire grincheuse, et ne parlait pas beaucoup.
Puis, quand notre gamine s'allongea en attendent déjà 1m77, et ses seins poussèrent, encore, les hommes dans l'immeuble commenceairent la regarder ... différemment. Getta ne portait pas soutien-gorge, et sous son éternel t-shirt rouge, ses gros seins ronds de femme se balançaient et les hommes... devenaient fous.
En découvrant que Getta, "la gamine"... était devenue une femme.
Et puis, un matin ce fut Monsieur Karl Wilther qui decouvra les autres qualités de notre orpheline. Ce matin Getta la gamine fut appelée par madame Wilther pour nettoyage. Madame était au boulot, et lui, Karl Wilther, prof de mathématiques, était libre.
Soigneusement, la fille faisait son travail. Elle frottait le tapis, a quatre pattes, et Monsieur Karl Wilther regardait avidement ses gros seins bouger sous son t-shirt. Comme des pis de vache. Et il pouvait aussi voir ses pieds nus. Très attirants. Des pieds de filles, etroits, avec des talons roses. Aussi il sentait le parfum de la fille, entremele avec une vague odeur de transpiration.
Déjà il sentait des vagues de sueur - lui seul avec la jeune fille de 19 ans. Une fille qui aurait pu être sa fille. Une pensée folle jaillissait en lui. Tandis que sous son ventre la verge déjà pulsait, en éreétion.
Vers 11 heures, Getta acheva le travail et il lui donna le paiement, 100 lei.
Puis, haletant, et rouge, Karl Wilther osa ... et dit rapidement:
- Euh.. écoute, chérie, pardonne-moi... Je sais que ce n'est pas normal mais si je te donne 100 lei de plus
tu me montres tes seins?
La gamine fronça les sourcils et se retira dun pas, surprise.
- Mais Monsieur vous n'avez pas honte? Vous avez une femme! Et un âge!
Le monsieur haletait bruyamment avec une mine coupable. Il gémit.
- Je sais ... Je sais ... Mais je veux les voir ... Je t'en supplie... Qui saura?... 150 c'est bien?
Getta le regarda. Elle réfléchit ensuite. Elle avait besoin d'argent. Et ce monsieur était un homme assez sexy. Sans bedaine. Encore souple. Pas chauve. Pourquoi pas?
Elle soupira, excédée, hésita... rougit
pensa a nouveau
puis enleva son T-shirt, exposant ses gros seins nus.
Blancs, lourds, ronds, avec de longs mamelons roses. Affolants comme tout.
Monsieur Karl Wilther les regarda, ahuri par l'accord soudain de la fille. Transpirant d'émotion. Seins d'une fille de 19 ans. Tremblant, il les toucha. Il mit ses paumes sur ces seins nus... et gémi, car la chair de la fille était chaude et dure.
- Dieu, chérie... Quels seins as-tu ... Des seins adorables... Cette peau de fille, si soyeuse.
Il caressait éperdument les seins nus, tandis que Getta le laissait faire ca, tranquille, en le regardant avec pitié. Et puis il osa une autre demande. En balbutiant d'excitation sexuelle il dit:
- Chérie... Écoute ... Pour autres 200 lei... tu me laisses... promener ma verge sur eux? C'est mon rêve... s'il te plaît... s'il te plaît ...
Getta haussa les sourcils et le poussa avec dégoût. Même si elle s'attendait à ce qu'il lui demande ça. (Elle savait ce que les hommes voulaient, tout comme sa cousine de 26 ans avec son petit ami. Il l'avait également vu dans des films pornos. Des hommes qui jouissent sur les seins des femmes.)
-He ho, mais vos etes totalement dingue!
Puis le "gamine" sembla ruminer une pensée, regardant dans les yeux suppliants de Karl Wilther.
-Ok... mais j'en veux 350. Mais c'est sur, votre femme ne vient pas?
Affolé par son deuxieme accord le professeur alla chercher l'argent de facture électrique, somme mise à coté par sa femme, et pris 400 lei et les mis sur la table. Les yeux de la jeune fille brillèrent.
Elle le regarda ironiquement et ricana.
- Vous savez que je n'ai pas fait ça aux hommes avant, n'est-ce pas?
Karl Wilther dit d'une voix rauque:
-Je te crois petite... Mais qui le saura? ... Je n'ai jamais touché une fille de 19 ans aux seins comme les tiens non plus ... Alors tu vois, moi également t je suis débutant...
Il apporta rapidement une serviette, mis la «gamine » sur une chaise, caressa ses seins nus, puis baissa febrilement jeans et slips. Devant elle.
La bite de l'homme sortit dehors, dure, cambrée et pleine de veines, comme étonnée qu'à la place de Mme Karl Wilther elle découvre une fille maigre aux gros seins nus qui la regarde avec curiosité et dégoût.
Monsieur Karl Wilther gémit d'un plaisir aigu et commença à bouger sa verge de haut en bas sous les yeux dilatés de la fille.
Getta fixa la verge avec une expression de dégoût, mais aussi pleine de curiosité féminine.
-Beurk... comme c'est horrible. Vous n'avez pas aucune honte, n'est-ce pas?
Mais la bite de monsieur sentait bon, le deo Axe. Ensuite la gamine resta sage sur place quand Monsieur Karl Wilther commença à se faire ses plaisirs vicieux, en frottant légèrement sa bite arquée contre les seins chauds et durs. En couinant comme un cochon blessé, inondé des vagues de grand plaisir étrange et anormal.
Donc dans la chamber illumine par le soleil de juin l'homme promenait donc sa bite decalotée sur les superbes seins nus de Getta. Il fit ca pendant longtemps, sur les clavicules, sur les épaules maigres, puis de nouveau entre les seins durs et ronds et élastiques. Il grognait de plaisirvif apporte par contact du gland avec la peau soyeuse de fille jeune.
Getta sentit faire la chair de poule. Le salon résonnait des gémissements de l'homme.
- Gettaaa ... Grand Dieu... Tu sais que ma femme n'accepte pas çaaaa
La "gamine" était assise, et sur ses seins, la bite arquée de l'homme. Un homme mûr utilisait ses seins comme instrument sexuel. Soudain Getta se rendit compte qu'elle est excitée. La bite énorme (tellement dure du a sa presence) et l'argent sur la table ... sa tête tournait. Son coeur battait la chamade.
- Sérieusement? Elle ne veut pas le frottage sur les seins? Pourquoi?
Le monsieur ne répondit pas concentré sur le "frottage" pratiqué avec les seins parfaits d'une fille de 19 ans. Mon Dieu, quell plaisir anormal.
Puis Getta vit un filet de liquide clair et collant qui commença à sortir du pénis sur ses seins. Il savait ce que c'était le prééjaculer d'un homme qui n'avait pas éjaculé depuis longtemps.
Elle savait ça de sa cousine, et elle se rendit compte à nouveau qu'elle est excitée.
Ensuite elle ne fut plus passive, mais active: la «gamine » au seins nus saisit la verge avec ses doigts fins et inexpérimentés.
- Si vous me passez encore 100 lei, je vous branle. Hé?
Il cria de plaisir et surprise.
-Hooo Getta ... ouuuiii. taaa main ... taaa main ... aide- moi ... aide- moi ...
Karl Wilther, avec sa main sur la main de la fille, guida la main de la fille, rythmiquement, sur la longueur de la verge, dans une douce masturbation de main de fille.
-Regarde comme ça ... Aaah ... Regarde comme ça ... Oaahh ...
Au bout d'une minute, Getta murmura:
- Cest bon, je men occupe
maintenant, laisse-moi...
Et sur sa verge ne restait que la belle main de la fille qui, instinctivement et inondée d'une curiosité malsaine, commença à lui offrir le plaisir de la masturbation féminine, avec ses instincts féminins excités. Meme si elle navait jamais fait ca a un homme. Pensant, avec une excitation malsaine, qu'il «faisait» le mari d'une autre femme. Le songe que c'était illégal et immoral la rendit soudain folle.
Donc les mains de Getta, qui, il y a trente minutes frottaient le tapis, caressaient maintenant, avec un geste saccadé, la grosse bite de monsieur Karl Wilther.
Des gouttes de sueur étaient apparus sur le front de la fille. Elle regardait avec curiosité le gland qui, stimule par ses doigts, devint énorme, comme une prune.
C était trop pour le pauvre monsieur. Le plaisir de Karl Wilther monta tumultueusement dans ses glandes. La pression dans ses glandes pleines était énorme, il fallait se libérer. Il décida d'exploser.
- Chérie, Dieu... Je me vide les couilles... Hoooooaaaaahhh ...
Il cria fort, attrapa une épaule nue de la fille... et sentit dans ses entrailles les aiguilles de feu d'une grande éjaculation montant dans ses tuyaux intime et tout le sperme de quatorze jours d'abstention gicla sauvagement sur Getta, se répandant, abundant et gluant, sur les seins ronds
sous la forme de quatre grosses giclées animaliques de semence gluante.
Lorsqu'il se remit de ses spasmes - même s'il s'était si soulagé - Karl Wilther fût immédiatement inondée par des remords. Sur la chaise l'orpheline s'essuyait les seins et les clavicules avec la serviette le regardant avec une sorte de reporche.
Elle renifla ses doigts pleins de sperme.
-Pfff ... Beurk.. Donc cest le sperme dhomme?... Mon Dieu, et il y en a partout...
Sans un mot, les deux restèrent comme ça, lui debout avec la verge pulsante en demi-erection et elle sur la chaise, tous les deux embarrassés, se regardant
Il souleva sa culotte et elle enfila son tee-shirt.
La fille pris l'argent et sortit, joyeuse de son gain
et lui il resta sur sa chaise, le cur battant. Dieu, qu'avait-il fait? Il pensait déjà a sa femme trompée. Et a largent donné a cette petite pute tellement éxcitante.
Mais cinq jours plus tard, alors que Getta balayait dans la cage d'escalier, Karl Wilther lui dit:
- Bonjour poupée. Qu'est-ce que tu fais chérie? Je suis avec mon beau-frère Marcel. Et nos femmes sont à Sinaia pendant dix jours. Nous sommes tellement ... pleins. Tu viens ... nous aider? Pas gratuitement, évidemment.
Et il agita sous ses yeux deux billets de 100 euros, cette fois.
Marcel avait 37 ans et il était également un type OK, sans bedaine.
Dix minutes plus tard, Getta la grande maigrichonne était nue sur le bord du canapé, caressant avec ses fines mains les deux bites des deux hommes matures nus devant elle. Chaussée avec les sandales de soirée noires de Mme Karl Wilther . Elle ne caressa les bites qu'avec ses mains, comme elle l'avait résolument dit depuis le début.
Mais quoi, était-ce mauvais?
Non, cétait délicieux.
Caressés comme ça, les deux hommes, avec les yeux figés sur le corps nu, long et maigre de la fille, hennirent commes des chevaux en rut, puis ils gémirent en chur en remplissant le salon des cris des plaisirs de l'éjaculation, se soulageant simultanément et sauvagement sur les seins nus de Getta, qui recu sans honte et avec éxtase sur ses seins et visage les grandes giclées illicites de semence d'homme.
Auteur lucius.ro@gmail.com
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